Bonsoir,
Ah ben, il est remonté le Louis...
Pour la PTS, je pense que les écoles l'apprennent car cela permet au mono de mieux diriger son élève et lui faire prendre conscience de la hauteur avant de déclencher la finale.
Je l'ai pratiqué pendant des années sans trop de problème. Le souci de la PTS, c'est de faire le dernier virage en radada, à moins que l'on ait bien anticipé et fait sa PTS en arrière du terrain et déclencher sa finale assez haut.
Pour la PTL, je ne sais pas mais Louis semble savoir vraiment ce qu'il dit donc faisons lui confiance.
Depuis que je suis passé au rigide, j'ai abandonné la PTS, car ces ailes supportent mal des virages serrés volets sortis à donf (phénomène de glissade très très désagréable) (j'ai encore en mémoire un sketch sans conséquence au final, mais qui m'a fait dire : "posé vivant, posé content !").
J'adopte donc systématiquement maintenant la PTU qui pour moi a l'avantage de pouvoir garder en permanence un oeil sur le terrain et sur le point d'aboutissement final. Je fais mon dernier virage très haut en arrière du terrain pour gérer le point d'aboutissement en tirant sur la speed barre et en jouant sur les volets (comme avec un drag chute). Si je me suis planté, je relâche les volets et allonge la dernière branche, si je suis trop long, je tire la speed barre pour raccourcir la finale.
Je rejoins Louis quand il dit qu'il faut éviter au maximum d'encombrer le cerveau par des éléments externes supplémentaires (arbres, bagnole, ligne, virage, hauteur, putain la haie, la haie, la haie, pousse tout !!!).
Je rajoute une méthode d'atterrissage beaucoup pratiquée par les Allemands il y a un certains temps, la PTN (pour prise de terrain n'importe la ouak). En gros, je me pointe au dessus du terrain, j'envoie du 360° engagé à donf, j'en ressors comme je peux et si le très haut est dans un bon jour, j'aligne le terrain et me pose. (bon ils venaient toujours avec des fagots de montants : un signe ?).
Bons vols cédric, tu commences l'activité ?
A te lire.
Patrick
Chauve rigide nantais