Citation (pioupiou @ 26 July 2012 à 09:29) | Je surveille il va bien falloir que je sorte du 700 quand même |
Alors Piou c'est moi qui saigne et c'est toi qui pleure, Du 700 des vaillants et encore plus vrais des fainéants une erreur et c'est le tas. + 100m c'est encore pas gagné, mais - 100 m c'est quasi perdu. Observe attentivement tout ceux qui volent, parapente, vautour, hirondelles etc. Comprend les cycles et les conséquences sur le vent au décollage pour pouvoir choisir le meilleur moment. Donc ne pas décoller lorsque ceux de la falaise montent, c'est trop tard. Dés que ceux du bas ne montent plus, tu attends juste le moment qui ressemble le plus à ton observation pour prendre le prochain cycles. Ceux du bas ne remonterons plus. La distance avec le relief et très différente avant et après les feuilles. Actuellement il est préférable de partir un peu plus à droite afin de s'éloigner du relief. En suite tu reprends un axe vers la forêt couché avant la falaise. Le plus souvent j'observe que vers 14h midi au soleil tu commences à trouver du + avant la forêt couché, le thermique étant couché par la brise.Tu l'enroules, bien qu'il soit compliqué car part sous les fesses. Ne pas le perdre. En suite il se redresse et part Nord/Ouest. lorsqu'il faibli le plus souvent il part plein O vers le décollage mais couché souvent du 0 au vario. Tout ceci je l'observe quelque soit le vent météo. Généralement c'est là que tu te sauves définitivement avec de gros +. Le thermique forcément se redresse, très mal organisé pendant les premiers 100m tout en dérivent légèrement O/N/O. En suite tu rencontres l'inversion, un air très remuant qu'il ne faut surtout pas fuir car en suite tout devient rapidement bien organisé avec de gros vario. La décision de départ vers l'Estos ou le Lion entre 2300/2600m. Je reprend un peu plus bas là où tout se gagne. Du décollage jusqu'à la falaise reste très attentif en volant à la bonne vitesse pour sentir de quel côté est le cœur du thermique afin de choisir le bon côté du virage à effectuer. Là tu fais très attention de ne pas toucher ta b.c. en tangage afin de ne pas donner de fausses infos à ton vario. Ne pas hésiter à inverser le sens pour trouver le plus efficace . Calmement mais efficacement, sans toute fois envoyer l'aile sur la tranche par ex. Ou avec des prises de vitesses inutile et parfaitement inefficace. C'est pourquoi la vitesse est tellement importante à connaître. D'abord en te faisant aider d'un badin pour garder en mémoire ta plage de vitesse aux sensations sur ton visage, ceci afin d'arriver toujours à la bonne vitesse et savoir se ralentir sans se mettre en danger. Avec un rigide c'est encore plus vrais. Si tu observes bien les vautours tu essayes de les copier. Pas de mouvement brusque et parasite qui ne font que de la trainé et qui te déconnectes de la représentation que tu dois arrivé à te faire de l'air que tu rencontres. Tu dois avoir compris à ce moment là où il ne faut pas aller, donc pour cela il est préférable de ne pas décoller le premier, sauf lorsque l'on vole ensemble (je blague ! ). En suite lorsque tu attends un nouveau cycle ou pendant la recherche de l'ascendance tu trouves sur ton parcourt du - prendre un autre chemin pour le retour qui ne pourra être que moins mauvais. En air calme apprendre à connaître son aile. Badin bien visible, du gaz, personne autour, visière relevé. Ralentir, lire le badin, sentir le vent, observer les vibrations et les bruits de ton aile, sentir le vent, lire le badin et ceci jusqu'au décrochage. En suite tu cherches la vitesse qui te donne ton taux de chute mini en couplant l'altimètre et le chrono. Mon bloc de chute est parfait pour çà. En suite on verra ensemble comment faire pour connaitre les véritables bonnes vitesses lorsque tu cherches une ascendances toujours très patiemment encore plus vrais en point bas. Le matin Luchon c'est parfait pour cela. Ton aile doit devenir un costume sur mesure que tu enfiles et que tu oublis quand tu es en l'air. Tout ceci ne doit pas faire oublier de réunir les conditions parfaites pour commencer par le début.....par exemple réussir le décollage. J'en connais un qui semblait l'avoir oublié. Je me souviens au Lachens les Anglais attendaient qu'il n'y est plus de vent, voir pire, pour décoller. Puisque les bons thermiques provoquent un barrage et coupe le courant de la brise. Quelques fossiles de dents sont toujours à découvrir au sommet du Lachens. Allez Piou, un peu moins de randonnée, un peu plus de delta pour que l'on soit plusieurs en vadrouille au dessus de l'inversion les mains dans les moufles. Avec d'autres comme Marc Tony Pedro c'est toujours plus sympathique et facile de voyager. D'autant que l'on a maintenant plus de chauffeur et qu'il nous faut remonter pour récupérer l'auto et s'occuper des veaux oubliés par la vache. J'espère que Jean Louis est arrivé avant les vautours. A+ Piou ff
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